Selon Michelle Alliot-Marie, le service sera réservé aux plaintes contre X concernant des délits mineurs. Les victimes pourront porter plainte de chez elles et ainsi éviter des déplacements et attentes au commissariat. Par exemple, en cas de cambriolage, la victime indiquera le lieu, la date et l'heure approximative des faits, ainsi que la liste des objets volés et des éventuels dégâts, etc. Autant de détails qui sont d'habitude enregistrés par les agents de police lors de la déposition de plainte en commissariat. De leur côté, les services de police et de gendarmerie seront à même d'apprécier les faits et, le cas échéant, de proposer à la victime une date et un lieu de convocation. 3,4 millions d'euros vont être consacrés au projet qui doit être expérimenté d'ici la fin de l'année. Son lancement n’est attendu qu'en 2008.
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